Pour leur premier match amical à Créteil, les hommes de Benjamin PAVONI ne se sont inclinés que de deux buts (27-29) face à Dijon, formation évoluant en D1 dès cette saison. Une bonne partie malgré de nombreux absents (DESCAT, STANKOVIC, MINEL Quentin et Thibaut, NYOKAS, POCUCA, CONTA, BALLET,…) sur laquelle revient pour vous, le capitaine Pierre MONTORIER.
Il s’agissait de votre deuxième match amical (NDLR: Créteil a gagné à Angers 25-30), une rencontre face à une équipe d’une division supérieure, sur laquelle vous souhaitiez axer votre travail sur la défense. Quels enseignements sont à tirer de ce match ?
Effectivement, Dijon est sur le papier, d’un autre calibre qu’Angers. Nous avions axé notre travail sur la défense, qui n’a pas trop mal fonctionné, je dirais. Ce qui est intéressant dans ce secteur là, c’est qu’à Angers, GROSAS et moi avons défendu en 3. Contre Dijon, cela a été GROSAS et Jérémy (NDLR: TOTO) et il y a possibilité que ce soit également Jérémy et moi. Nous allons pouvoir tourner tous les trois, sur ces postes de numéro 3. Et c’est plutôt bien pour la suite.
Il y aura davantage de rotation que l’année dernière…
Oui, j’espère que nous allons réussir à nous adapter un peu mieux que l’année dernière. Et justement, malgré plusieurs blessés pour ce match face à Dijon, nous avons réalisé une partie correcte.
Il manquait presque un 7 majeur pour cette rencontre. C’est compliqué de travailler avec ça…?
Compliqué, oui et non. Les blessures font partie du quotidien. J’espère que nous allons récupérer les blessés. Si ce n’est pas le cas, j’espère que l’équipe qui entamera le championnat le 15 septembre sera la meilleure possible.
De ton point de vue de capitaine, comment juges-tu ce groupe ?
Pour l’instant, nous apprenons à connaître les nouveaux. Il y a un très bon état d’esprit. C’est de bonne augure pour la suite.
Jeudi, deux jours après Dijon, un nouveau match amical s’offre à vous (Tremblay). Quel est le programme ?
Mercredi matin, nous avons une séance de musculation. Jeudi, le match contre Tremblay va nous permettre de continuer à travailler et à nous connaître parce que mine de rien, il y a quand même eu six départs et quatre arrivées.